Cours DÉducation Sexuelle Des Futures Courtisanes. 4 Ème Leçon.
Cours déducation sexuelle des futures courtisanes.
« Le défricheur ». 4ème leçon.
Cela fait un jour que les filles ne parlent plus que de ça. Qui est ce « Maître » dont a parlé Madame Clerc ? Les spéculations vont bon-train.
-Bonjour mesdemoiselles !
- Bonjour Maîtresse !
-Bien. Aujourdhui et les jours suivants, par groupe de 3, vous allez connaître pour la première fois de votre vie la pénétration du sexe mâle dans votre intimité. Pour cela, un homme que vous appellerai « Maître » va soccuper de vous à tour de rôle avec comme assistant le N°3 que nous appellerons Paul.
- Vous allez être surprises en le voyant et comprendrez enfin le surnom que lui donnent vos camarades un peu plus âgées.
-Maître, vous pouvez entrer !
La porte souvre et pénètre dans la pièce lhomme tant attendu. Des cris fusent :
- Le Défricheur !!!!
-Mais cest le jardinier !
-Silence Mesdemoiselles ! Ne manquez pas de respect au Maître ! Martine, Jeanne et Armelle, vous allez suivre le Maître dans la pièce dà coté, les autres, suivez-moi !
Madame Clerc les emmène dans une alcôve et tire un rideau qui cachait un miroir sans tain.
De nombreux chandeliers et un feu ardent dans une imposante cheminée éclairent une chambre avec un lit immense. Les 3 nymphes et Paul sont alignés contre un mur.
Le Maître prend la parole :
- Paul, déshabille-toi et ensuite fais de même avec ces oies blanches !
Paul sexécute servilement et tous les 4 se retrouvent complètement nus dans cette pièce surchauffée.
-Mesdemoiselles, à vous de me dévêtir !
Avec empressement et un peu de crainte, elles sapprochent de lui et lui retirent ses habits.
Elles ont un mouvement de recul quand elles dénudent la virilité du Maître.
Lorgane a des proportions hors du commun. Des 6 jeunes hommes quelles ont connus ces derniers jours, 5 natteignaient pas en pleine érection le chibre qui pend entre ses cuisses.
Il ny a que Paul qui pourrait faire illusion, ce tuyau épais fait bien 2 paumes (2X 7,64 cm).
-Armelle, occupe-toi de Paul et vous deux de moi, mettez-y du cur à louvrage pour nous mettre au garde-à vous !
Elles ont bien retenu les leçons et sactivent sur les verges offertes. Mais si Paul était déjà long à entrer en érection, le Maître lest encore plus. Armelle a rempli son devoir et sa bouche aidée de ses mains arrive à ses fins, un sceptre de bonne longueur dresse fièrement devant son visage.
Martine et Jeanne sactivent sur lorgane du Maître, elles font des mouvements de va et vient sur toute la longueur de sa queue, sentant sous leurs doigts les veines pulsées avec force dans cette verge qui narrête pas de croître.
-Armelle, viens les aider !
Les trois filles admirent ce magnifique vit. Les trois Gourgandines approchent leurs jolies bouches pulpeuses de cette queue rutilante, la lèchent doucement sur toute sa longueur.
Elles se sont partagé le travail. Une langue soccupe de la hampe, une autre des bourses, la troisième sescrime avec difficulté sur lénorme gland.
L'homme est ravi de cette avalanche de sensations sur sa verge mais nen laisse rien paraître. Il sent le titillement d'une langue sur ses couilles, et le frottement des dents d'une autre qui raclent le bout de son gland massif.
La colonne de chair grandit et durcit toujours. Martine continue ses va et vient avec sa main quelle narrive pas à refermer sur la bite du Maître. Les filles dans lautre pièce sont fascinées par ce spectacle dantesque.
C'est bien Martine. Maintenant Armelle, à toi de reprendre la fellation. Tu vas prendre mon membre en bouche le plus profond possible. N'oublie pas d'utiliser ta langue autour de mon gland.
Armelle obéit au Maître, ouvre la bouche et y rentre le jonc vigoureux, commençant à le sucer avec appréhension mais ne peut guère nen goûter que lextrémité.
Martine et Jeanne se sont positionnées de chaque coté et ont pris la queue imposante dans leur main.
Le Maître à posé une main sur les têtes de Martine et Jeanne et les encourage :
Très bien les filles, encore un peu defforts et vous y êtes ! Là !!! Ecartez-vous pour laisser vos camarades voir le résultat !
La verge est si lourde quelle arrive difficilement à rester à lhorizontale.
Les autres filles derrière la vitre découvrent le sexe énorme.
Madame Clerc reprend la parole dans lalcôve et leurs explique la suite :
-Nayez crainte les filles, votre matrice peut sadapter à toutes les tailles, même celle là.
Il faut dire que le Maître est doté dune verge exceptionnelle que vous ne reverrez sûrement jamais de votre vie. Pour information, son plantoir mesure un peu moins dun empan et une paume (20 et 7,64 cm) et la largeur de 2 pouces ¼ (5.7 cm).
-Vous pouvez remarquer aussi que contrairement à Paul qui a une verge dun diamètre égal sur toute sa longueur, le Maître a un pénis qui rappelle son plantoir de jardinier légèrement conique, le gland nest guère plus gros que celui de Paul mais la hampe grossit exponentiellement à mesure que vous vous rapprochez de son bas-ventre.
Vous verrez par la suite aussi quil a bien dautres particularités qui le distinguent du simple forniqueur.
- Comme je vous lai appris, cest une verge de chair mais un facteur de 1,8 appliqué sur une base de départ si importante produit immanquablement à un tel monstre. Quand serait-il sil avait une queue de sang ?
-Un peu de calcul, 2 paumes (2X 7,64 cm) X par un facteur de 2,2 ; quelle serait la longueur obtenue ?
-3 paumes et un pouce, Maîtresse (33 cm) ! Sécrie Josette.
Un « ooohhh » sélève dans la pièce.
-Quand vous entrerez dans cette chambre à votre tour, vous serez encore pucelle. Quand vous en sortirez, vous serez devenues femmes.
-Maintenant je vais vous laisser admirer le spectacle et aller assister le « DEFRICHEUR » !
Madame Clerc a rejoint la chambre et demande à Paul de la dévêtir :
-Quand tu auras fini, je veux que tu me dévores la moule !
Cest une belle femme bien en chair avec une poitrine lourde, de très longs têtons sont au centre dimmenses aréoles roses, une toison drue entoure une fente charnue aux lèvres proéminentes.
-Applique-toi que diable, je ne suis pas en sucre !
Paul, à genoux devant elle, lui dévore la chatte, mordillant les grandes lèvres, dardant sa langue le plus loin possible, saidant de ses doigts pour titiller un clitoris très développé.
-Ah, cest beaucoup mieux, ouuuiii, continue comme ça !!!
Pendant ce temps, le jardinier endure le meilleur des supplices. Les 3 filles se sont transformées en une véritable Gorgone. Des langues râpeuses, des lèvres suceuses et six mains explorent tous les recoins de ce formidable braquemard.
La peau fine du scrotum réagit à toutes ces caresses buccales. Le plaisir est intense mais une très longue pratique le fait résister aux bouches qui lèchent, aux lèvres qui sucent, aux bouches qui avalent et qui pompent. Pas un carré de peau de son sexe néchappe à leurs convoitises.
Ca le rend dingue, il voudrait qu'elles cessent et en même temps que ça ne se termine jamais.
Il se soumet totalement à ces 3 pucelles. Soudain, elles arrêtent.
Le Défricheur reprend ses esprits quand elles le basculent sur le lit.
Que vont-elles lui faire à présent ? L'une d'entre elles aura-t-elle laudace de passer la première sur son axe dairain ?
A suivre
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!